Gérer les risques de manière efficace est une préoccupation croissante pour tout manager opérationnel du procurement. Mais comment y parvenir ?
Dans cette ère de mondialisation et de chaînes d'approvisionnement internationales, la gestion des risques est devenue un problème crucial. En tant que Procurement Operations Manager, vous êtes probablement déjà confronté à cette réalité. Mais ne vous inquiétez pas - nous avons des solutions et des conseils à vous proposer!
Gérer les risques : Un pari nécessaire
En matière de procurement, chaque risque pris n'est pas nécessairement un danger. Il peut même être une opportunité! Selon une étude de Deloitte, 85% des entreprises ont rencontré des disruptions significatives dans leur chaîne d'approvisionnement ces dernières années. La gestion des risques devient donc une nécessité stratégique. Comme on dit, 'Qui ne risque rien, n'amasse pas mousse!'. Oui, je sais, c’est plutôt 'nécessité fait loi', mais je trouve que l’autre proverbe sonne mieux.
Évaluation des risques : Le commencement de la sagesse
Avant de pouvoir gérer les risques, il faut d'abord les identifier et les évaluer. Utilisez des outils comme SWOT (Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats) ou le PESTEL Analysis (Political, Economic, Sociocultural, Technological, Environmental, Legal) pour effectuer une évaluation approfondie. N'oubliez pas : un bon manager opérationnel du procurement est comme un bon sommelier. Il ne se contente pas de boire du vin – il le renifle, l’analyse, le goûte !
Planification de la réponse aux risques : Être prêt, tel est le secret de la réussite
Une fois que vous avez identifié et évalué les risques, il est temps de les gérer. Il existe différentes stratégies pour cela : l'acceptation du risque, son atténuation, son transfert ou même son évitement. Le choix de la stratégie dépendra de l'évaluation que vous aurez faite au préalable. Personne ne veut se faire prendre avec un sorbet à la fraise sur le nez! Il faut anticiper le coup!
Surveiller et contrôler les risques : Une vigilance de tous les instants
Comme dans une partie de poker, la tâche n'est pas finie une fois que vous avez posé vos cartes sur la table. Il faut continuer à surveiller et à contrôler les risques tout au long du processus d'approvisionnement. L’important, c’est de toujours garder un œil sur le jeu et de ne pas perdre de vue le bluff des adversaires. Là, je parle bien sûr du marché du procurement et non d’une vraie partie de poker. Quoique dans les deux cas, un bon bluff peut parfois faire la différence!
Références
- Etude Deloitte : Deloitte Global Chief Procurement Officer Survey 2018
